En me baladant sur le net je suis tombé sur une  vidéo, où plutôt un reportage.

La bigorexie

Dépendance excessive d’un être humain à l’activité sportive, La bigorexie est une conduite addictive constituant une pathologie.

La dépendance au sport porte un nom : la bigorexieCette vidéo traite de la dépendance, plus précisément celle lié à la pratique sportive, sportif moyen à athlète de haut niveau personne n’est épargné. Cette « maladie » toucherait autant les hommes que les femmes, 15 % des sportifs seraient atteind par une forme de bigorexie.

Je suis rassuré, moi je peux très bien me passer de courir pendant un moment.

 

 

 

 

 

 

Beaucoup de témoignages sont présents dans ce reportage, certains m’ont parlé, d’autres pas du tout.

Trois témoignages m’ont touchés

Le premier, c’est celui d’un ancien, un ancien quoi ? Un ancien !, les anciens c’est les anciens ! Je suis respectueux des plus âgés, ils connaissent plus que nous, et ils pouvent nous faire partager ce qu’ils ont appris pendant leurs entraînements, et compétitions.Cet ancien la, c’est un cycliste, il possède 5 vélos … Il raconte donc qu’il peut ne pas pédaler, mais qu’il ne va pas être bien. C’est exactement ce que je ressens, et je trouve çà naturel, et saint.

La dépendance au sport porte un nom : la bigorexieLe deuxième témoignage est celui d’un nageur qui lui se sent comme agressé par les autres. Non je ne frôle pas les murs lorsque je marche dans la rue, je viens de Marseille Kalash City, et je vis Porte de Clignancourt à Paris, ce n’est pas le genre de la maison de baisser son froc. Je parle du côté relation social, je trouve que le comportement des gens n’est plus très humain, du moins à Paris. Je pense que l’on a perdu beaucoup de valeurs humaine dans la vie de tous les jours, ce qui crée des petites agressions qui donne envie d’en tuer certains.

Ce gars ne se sentait bien que lorsqu’il était dans son bassin, protéger des agressions extérieures ...

Le moment du dernier témoignage qui m’a fait tilter, c’est lorsque le gars balance que c’est important pour lui d’avoir un objectif quasi tous les jours, objectif sportif bien sur, et que sans entraînement il serait comme perdu. Bon là je m’y retrouve pas mal …

Dans ce reportage, on parle beaucoup également de ces hormones sécrétées par la pratique sportive. La dépendance au sport se soignerait avec les mêmes schémas qu’une addiction à la drogue, le jeu, …

Parfois ces personnes n’ont même pas d’objectif sportif, ils s’entraînent beaucoup trop, n’importe comment, donc au bout d’un moment çà pète. Çà me fait de la peine pour elles, çà me fait également chier car ces  » malades  » utilisent notre activité ( le sport en générale ) de façon malsaine, alors que devrait être dans quelque chose de pure, et saint.

 

J’espère que vous m’avez lu jusqu’au bout, maintenant vous avez le droit à la vidéo :

 

 

 

 

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