Je déteste ceux qui l’ouvrent pour rien, et je ne parle pas de l’ouverture d’une porte … Ah, ah, ah.
Je n’ai pas un ego sur-dimensionné, je sais objectivement quand je suis « bon », et je sais également quand je suis une grosse merde aussi.
Sur Marathon, je sais que mon dernier chrono en date (2h37) en fait rêver plus d’un, par contre sur 10 km, je ne fais pas trop d’envieux avec mon pauvre, même très pauvre 35′.

 

Running : je serais bientôt coureur ÉLITE sur Marathon
Travailler, travailler, encore travailler

J’ai deux grosses dates dans les deux mois à venir, la première, c’est le semi-Marathon de Paris, le deuxième, un mois plus tard le Marathon de la même ville.
Sur le semi, il faut que je sois en moins d’1h15, et sur le Marathon, je devrais normalement être en 2h34. On ne sait jamais ce qui se passer dans la vie, et encore plus dans une course.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si je tape mon 2h34 à Paris, j’irai chercher un titre à Berlin !

Attention, quand je dis titre, je ne fais pas référence à gagner le Marathon ( loin, très loin ), là, je serais le plus gros des mythos. Quand je dis titre, je devrais dire statut en fait, en effet pour être coureur ÉLITE, il faut être en 2h30.

 

Pourquoi je me fixe Berlin ?

 

Running : je serais bientôt coureur ÉLITE sur Marathon
Go Meb Speed 3.Celle qui seront à mes pieds à Paris
  • Berlin est le Marathon le plus rapide au monde, c’est toujours 42,195 km, mais il n’y a que du plat. On dit du parcours qu’il est le plus roulant au monde, un « billard ».
  • D’ici septembre prochain, je vais encore taper beaucoup de km, et d’heures d’entraînement. Je pense que j’aurais assez travaillé, et progresser pour aller chercher mon statut de runner ÉLITE sur Marathon.

 

 

 

 

 

C’est en ÉLITE que vous retrouvez tous les Kényans, les Éthiopiens, brefs, tous ceux qui se retrouvent dans le top 50 maximums sur des gros marathons comme Boston, Paris, N.Y, …

Il y a encore 1 an, je me disais que j’arrêterai cette distance (Marathon), une fois que je serais un coureur ÉLITE, mais cela va arriver plus vite que prévu, si tout se passe comme prévu.

Une fois en ÉLITE, mon boulot sera alors de me rapprocher au plus des 2h20.

Pour le moment, je gagne entre 3, et 4 minutes à chaque nouvelle ligne franchi sur Marathon, mais à un moment donné çà sera juste 1 minute, voir après quelques secondes. On n’y est pas encore ! Il faut travailler, travailler, et encore travailler. Pour un mec qui a NO PAIN NO GAIN tatoué sur le mollet gauche çà ne devrait pas poser de problèmes.

 

Analyse de ma foulée à allure de mon prochain Marathon, 3’39/km = 16,5 km/h


Si je prends mes trois derniers Marathon, voici mon évolution :

  • Nice, novembre 2013 = 2h44
  • Londres, avril 2014 = 2h41
  • Berlin, septembre 2014 = 2h37

 

À moi de jouer. Mais c’est loin d’être un jeu !

NEVER GIVE UP !

traduction = ne jamais abandonner

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