La course à pied peut-être : un sport, une passion, un passe-temps, une séance chez le psy, un médicament.

La course à pied comme anxiolytique, et anti stressBref la pratique du footing, running, jogging, de la course à pied (appeler çà comme vous voulez) peut se pratiquer pour différentes raisons.

Je pense, et j’espère être « normal » dans la tronche. Des petits démons dans la tête comme tout le monde, mais rien de bien grave, des moments d’anxiétés, des petits coups de stress, mais dans l’ensemble çà tourne rond. Oui j’ai un petit côté extrémiste, mais c’est ce qui me vaut mes 2h35 sur Marathon …

 

 

 

Différentes raisons pour lesquelles on pratique la course a pied

Certains courent pour perdre du poids, d’autres pour se fixer et atteindre des objectifs, il y en a qui n’aiment pas courir et qui ne font que suivre la « mode » du moment. Les raisons sont variées, pas toutes ne se valent, mais au final cela ne peut vous apportez que du BON.

Différents types de « petits problèmes »

Pour moi, il y a plusieurs types de « petits démons », et « petit problèmes » dans la tête.

– Il y a celui qui stresse, car il fait 1 milliard de choses, il est partout et nulle part à la fois. Il manque souvent de sommeil, et a de fortes chances d’avoir un problème cardiaque à un moment de sa vie. Cette nature très « speeeeeed » ne lui permet jamais de savourer l’instant présent, car il pense, ou est déjà entrain de faire quelque chose d’autre.

Conseil : Pour ce genre de personne, je conseillerai de prendre 1 heure pour un footing de 45 min et 15 min de marche lente pour savourer la monté d’endorphine produite par l’effort réaliser.

 

 

– il y a celui qui est hyper anxieux, qui ne cesse de ressasser les points qui ne vont pas dans sa vie. Cette personnes-là court pour se sentir mieux, mais faut-il encore le faire de façon adapté.

 Conseil : Lorsqu’on est anxieux et que l’on pratique la course à pied comme médicaments, je préconise de le faire à plusieurs ( courir à 2 ou en groupe ) afin de ne pas tourner dans tous les sens ces problèmes. Au contraire, il faut profiter d’être avec quelqu’un pour parler de choses positives. Si vous êtes seul, plutôt que de faire un footing à rythme régulier qui va laisser la place à votre cerveau pour penser et repenser, je ferai à votre place un travail alterné du style 5 minutes de course « rapide » pour 2,3,4, ou 5′ de marche rapide. Utiliser votre cerveau pour vous concentrer sur votre souffle, votre technique de course, l’environnement dans lequel vous évoluez. Utiliser votre cerveau pour faire autre chose que ressasser les points qui ne vous conviennent pas.

 

Perso

Lorsque je cours sur un footing de 45 minutes à 2h30 (ma plus grande sortie longue) je ne pense pas à des choses négatives. Au contraire, le fait de me sentir bien me fait tourner les choses de façon positive. Lors d’un travail de vitesse du type 30″/30″, travail au seuil, ou travail à allure spécifique, je ne risque pas de broyer du noir. Mon mental dans cette situation ne sait dire qu’une chose : « lâche rien, va au charbon, ne fais pas ta merde, No Pain No Gain, … ».

Peu importe pourquoi vous courez, continuer à le faire !, en espérant que ce petit bout de papier vous aidera à optimiser votre sortie.

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