Il s’appelle Romain, il à prit sa décision 9 semaines avant le jour-J, et a suivit un plan d’entraînement personnalisé made in No pain No gain Runnning.

 

Je partage avec vous le message qu’un athlète (préparer par No pain No gain Running) qui est Finicher de son 1 er Marathon, et pas n’importe lequel … Phuket en Thailand, un départ très très matinal avec déjà une grosse chaleur et un taux d’humidité de plus de 75 % …

http://phuketmarathon.com

À vous de lire ! :

 

 

 Romain, Finisher de son premier Marathon préparer par No pain No gain Running
FINISHER ! WHAT ELSE ?

Oh poto !

Je vais recourir ce soir pour la première fois et j’ai bien hâte. Déjà 10 jours que je suis finisher !

Pour revenir sur la course, elle s’est bien passée.

De très bonnes sensations physiques et mentales, pas de blessure, pas de peur, pas de souffrance insurmontable, … Et un grand sentiment de joie et d’accomplissement à la fin.

Départ à 4h30 du matin par 29 degrés et déjà bien humide. Je suis trempé dès l’échauffement.

Je prends le départ avec mon pote Simon qui est en prépa Ironman. Son objectif est de finir en moins de 4 heures. Je décide de partir avec lui et nous faisons le half  en 1h58. On prend des relais, on remonte le peloton et franchement, je suis tranquille. Quelques côtes à franchir où je sens que je laisse des forces, mais j’avance tranquille. Je pense que si j’avais dû courir que le half j’aurais pu faire entre 1h50 et 1h55.

 

 

Tout va bien donc et on arrive au 25ème km après 2 heures 15 de course. De là commence l’inconnu pour moi : je n’ai jamais couru plus que cette distance ou que cette durée.

Mon pote décide d’accélérer un peu pour voir s’il a les jambes et prendre un peu d’avance sur le chrono. Il finira en 4h11.

 

 Romain, Finisher de son premier Marathon préparer par No pain No gain RunningJe décide d’essayer de le suivre, mais mes jambes ne répondent pas vraiment. Du coup, je ralentis un peu et je décide de faire un arrêt à la prochaine station pour m’hydrater et me faire un gel.

À ce stade-là, je pense que j’ai frôlé un petit mur, un muret dira-t-on ! Les jambes sont lourdes, je passe une éponge froide dessus et je les sens se durcir, se contracter. J’ai un bon coup de fatigue et je me dis que la course est encore longue. Pour sûr, je ne finirai pas en dessous de 4 heures. J’ai un mini doute sur le fait de pouvoir finir, mais je reprends la course en me mettant à un rythme qui me convient. Ce jusqu’au 30 ème où je sens que je reprend des forces.

 

 

 

 

 

 

De là, j’alterne un rythme confortable et quelques arrêts aux stations pour m’hydrater tranquillement. Je passe tant bien que mal les côtes au 35 ème et 37 ème puis je finis les 4 derniers km sans plus m’arrêter. Au 40 ème je comprend que je vais être finisher et je kiff de plus en plus. Les 500 derniers mètres, je suis tout sourire même si les larmes pointent le bout de leur nez et la gorge me chatouillent. Super émotion !

 

 

 Romain, Finisher de son premier Marathon préparer par No pain No gain Running
No pain No medal

Je finis en 4h38 sans avoir vraiment regarder le chrono après le 25 ème. J’imagine qu’en forçant, en me faisant mal et en risquant le mur, j’aurais pu finir en moins de 4h30 voir 4h25.

À refaire, je ferai la même course.

Aucun regret, mais l’envie de nouvelles courses : 10, half et full, sous des cieux plus cléments et moins de relief.

 

 

 

 

 

A priori, je devrais pouvoir participer à nouveau aux 20 km de Paris cette année. C’est le 12 et je devrais arriver de BKK le 10 ou le 11. Si l’année dernière j’ai fait 1h45 pour ma 1ère je veux faire 1h35 cette année …

Pour info, le vainqueur de Phuket a fini en 2h51 et le record reste 2h33. Seulement 800 participants, cette année. Je finis 146ème.

 

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